L’histoire de la kinésiologie

L’histoire de la kinésiologie

Dans les années 1960 aux Etats-Unis le Dr Goodheart(U.S.A.) jette les bases d’une technique de réajustement vertébral, sous l’appellation de « chiropractie » ou d’« ostéopathie ». 

Voici quelques dates marquant la naissance d’une nouvelle approche : LA KINESIOLOGIE 

• 1920, le Dr BENNET remarque une amélioration de la circulation sanguine lorsque l’on touche certains points de la tête 

• 1930, le Dr CHAPMAN remarque que la stimulation de certains points sensibles du corps diminue ladite sensibilité et améliore la santé ainsi que la circulation du flux lymphatique
• 1960, le Dr GOODHEARD découvre que chaque muscle est en relation avec un organe et un méridien d’acupuncture
• 1973, le Dr THIE publie un livre : «TOUCH FOR HEALTH» (traduit en 25 langues) dans lequel il établit les relations entre muscles, méridiens et points réflexes (lymphatiques et vasculaires) 

Peu à peu se développe l’idée d’une interrelation entre les différents systèmes : structurel, lymphatique, neurologique, énergétique, psychologique et biochimique.
• Années 1970, Daniel WHITESITE et Gordon STOCKES démontrent que de nombreux problèmes physiques ont une origine émotionnelle. Ils formulent le « concept 3 en 1 ».
• Années 1970, toujours, le Dr DIAMOND, psychiatre australien, met au point une série d’affirmations positives permettant une transmutation : Positiver des sentiments négatifs associés à une problématique.
• Années 1980, plusieurs branches de la kinésiologie se développent, dont « L’Édu-kinésiologie » créée par Paul DENNISON qui utilise le mouvement pour coordonner et synchroniser les deux hémisphères du cerveau de manière harmonieuse
Ainsi est née une nouvelle profession : LA KINÉSIOLOGIE

Le kinésiologue agit sur des systèmes dans le corps qui conditionnent l’esprit et la psyché. De nombreux domaines d’application se développent. La multiplicité et la précision de ces applications justifient que l’on parle de kinésiologies spécialisées.
Cependant, elles présentent toutes des points communs :
• L’utilisation du test musculaire (bio-feedback)
• La participation active du consultant à son mieux-être pendant et après la consultation
• La prise de distance de ce dernier avec ses émotions, auxquelles il s’était jusqu’à présent identifié. 

La prise de distance de ce dernier avec ses émotions, auxquelles il s’était jusqu’à présent identifié

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